Événement | Âge | Situation ou événement de la vie - Qu'est-ce qui vous a amené à franchir une barrière dans votre progression vers un comportement sexuel problématique? | Activités ou actions - Décrivez les comportements que vous avez adoptés. | Comment vous sentiez-vous à ce moment-là? | Le fait d'utiliser Internet ou d'avoir des fantasmes envers les personnes mineures a-t-il changé votre façon de penser? De quelle manière? Retrouvez les pensées qui accompagnaient régulièrement chaque activité. |
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1. Premier souvenir d'excitation sexuelle
8. Situation actuelle
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Référence : Module 1A - Comprendre pourquoi
Propriété intellectuelle : The Lucy Faithfull Foundation
Sous chaque jour, noircissez la colonne grise pour indiquer les heures que vous avez passées en ligne ou celles où vous avez eu des fantasmes.
La colonne blanche à côté sert à inscrire la nature de votre activité en ligne ou de vos fantasmes. Du contenu illégal sera inscrit en ROUGE, du contenu à haut risque en JAUNE et du contenu à faible risque en VERT.
Vous pouvez inclure la façon dont vous vous sentez pour mieux voir ce qui se passe
Les psychologues ont essayé d’examiner ce que signifie pour l’enfant le fait d’être photographié et le fait que ces photographies soient utilisées à des fins sexuelles (par exemple, fantasme, masturbation, etc.).
S’il est commode de penser que la séance de photographie est distincte de l’abus réel, ce n’est pas le cas pour la majorité des enfants. Très souvent, être photographié FAIT PARTIE de l’abus; les victimes considèrent les photos qui circulent comme une continuation de l’abus qu’elles ont subi.
Le fait de savoir que des images d’elles circulent sur le Web, et que des étrangers utilisent ces photographies à des fins sexuelles inappropriées, entraîne une victimisation permanente des enfants concernés.
Avant de continuer, vous pourriez trouver utile de visionner cette courte vidéo. Un homme y explique sa prise de conscience du tort causé aux enfants en raison de son propre comportement en ligne.
La maltraitance peut provoquer des symptômes physiques, tels que des infections urinaires et des douleurs autour des organes génitaux ou de l’anus, des maux de tête et des vomissements. La dépression, la fatigue, les difficultés de concentration et les cauchemars sont également fréquents chez ces enfants. Cela peut également entraîner d’autres problèmes, comme le fait que les enfants aient ensuite un comportement ou des paroles à caractère sexuel, un comportement rebelle ou agressif. Il peut aussi y avoir des répercussions sur leurs relations avec d’autres enfants et sur leurs relations avec les adultes lorsqu’ils seront plus âgés.
Comme pour toutes les formes d’abus sexuels, les enfants sont réticents à parler de ce qui s’est passé. Cela peut être très pratique pour les adultes concernés, mais cela augmente les risques que l’enfant ait des problèmes à l’avenir, comme la dépression ou l’incapacité à établir des relations de confiance ou d’amour avec d’autres adultes. Quand l’abus est photographié, cela semble augmenter la peur de l’enfant de parler de ce qui s’est passé. Si des révélations sont faites, elles sont souvent limitées, l’enfant disant seulement ce qu’il pense que la personne qui l’interroge sait déjà. Les sentiments de honte, d’humiliation et d’impuissance sont souvent accompagnés de sentiments d’anxiété, l’enfant craignant que la photo ne soit considérée comme une preuve de coopération de sa part. L’enfant peut également avoir l’impression que le fait qu’il souriait sera considéré comme une preuve qu’il aimait l’expérience, alors qu’il était forcé de sourire.
Les conséquences à long terme du fait d’avoir été photographié peuvent inclure :